Actus cinéma

Sophie Marceau : "Je ne voulais pas être actrice"

Sophie Marceau au Festival de Cannes, le 20 mai 2015.

© Aurore Marechal, Abaca

Éloignée de la vie publique depuis deux ans, Sophie Marceau a fait son retour sur Instagram afin de soutenir son fils qui vient de publier son premier livre. Dimanche 26 janvier 2020, l'actrice a également pris le temps de partager avec Télé Loisirs ses impressions de carrière.

Si son dernier film "Mme Mills, une voisine si parfaite" n'a pas connu un grand succès, le nom de Sophie Marceau ne disparaîtra pas de sitôt. Icône romantique du cinéma français, actrice préférées des Français, Sophie Marceau est une grande comédienne qui a toujours la cote et son succès dépasse nos frontières.

En 1980, à seulement 13 ans, elle obtient son premier grand rôle dans "La Boum" : "J'étais contente, je travaillais, j'avais trouvé un boulot, j'étais avec des gens de mon âge." Devenu culte en très peu de temps, Sophie Marceau est projetée sans le vouloir au rang de star. "C'était quelque chose qui était assez naturel, mais je ne l'avais pas désiré, je ne voulais pas être actrice", a-t-elle confié à Télé Loisirs. Un succès difficile à gérer, de surcroît à un si jeune âge : "Cette popularité, au début elle a été très violente, parce que je n'étais pas du tout prête à ça... J'avais une vie normale, j'étais dans le bottin, j'allais à l'école, et ça a été... énorme quoi."

"Pour la James Bond Girl, je n'avais peut-être pas tout à fait les mensurations"

Si Sophie Marceau a connu le succès dans de nombreux films français comme dans "L'Étudiante" (1988), "Fanfan" (1993), ou encore dans "LOL" en 2009, elle a aussi eu son heure de gloire à l'américaine. D'abord dans le blockbuster américain "Braveheart" avec Mel Gibson en 1995, puis lorsqu'elle incarne Elektra King, dans "Le monde ne suffit pas" aux côtés du 007, Pierce Brosnan.

"Je suis pas la James Bond Girl, je suis la vilaine dans le film. Pour la James Bond Girl, je n'avais peut-être pas tout à fait les mensurations", a-t-elle précisé avec le sourire avant de conclure : "Enfin quand même un peu, parce que les vilaines il faut qu'elles soient jolies."

publié le 28 janvier, Mégane Bellée

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