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Sean Connery portait une perruque pour incarner James Bond !

Sean Connery dans[ITALIC] Opération Tonnerre[/ITALIC]

© DR

Vous êtes fan de James Bond et pensez que son interprète le plus classe est sans aucun doute l'Écossais Sean Connery ? Vous changerez peut-être d'avis (ou pas) après l'information que nous allons vous dévoiler !

Si le célèbre agent secret arborait une belle chevelure noire à l'écran, ce n'était en fait pas le cas de son interprète qui portait donc un postiche quand il campait 007 ! Et oui, le mythique comédien, qui a incarné l'espion à sept reprises entre 1962 (James Bond 007 contre Dr No) et 1983 (Jamais plus jamais), a commencé à perdre ses cheveux à vingt et un an alors qu'il ne s'est glissé dans le rôle de Bond qu'à partir de trente-deux ans.

Rassurez-vous cependant, le comédien n'était pas pour autant complexé, dans la vie de tous les jours il n'avait en effet pas recours à ce genre de subterfuge pour cacher sa calvitie naissante. Mais au cinéma, et surtout pour incarner ce séducteur qu'est James Bond, il se devait de paraître le plus charismatique possible selon les critères de l'époque. Rappelons que le personnage créé par Ian Fleming était en effet un sacré coureur de jupons quand il ne déjouait pas des complots alambiqués.

Bien que retiré de l'industrie cinématographique depuis plus de dix ans maintenant, Sir Sean Connery reste tout de même un comédien très aimé du public et dont la prestation dans le rôle de l'espion de Sa Majesté restera pour toujours iconique, perruque ou non.

L'acteur n'est plus apparu sur grand écran depuis La Ligue des gentlemen extraordinaires en 2003, succès public mais gros échec critique à sa sortie. Et, au grand dam de ses fans, il n'a pas l'air prêt à sortir de sa retraite. En 2007, au moment de la mise en chantier d'un quatrième volet des aventures d'Indiana Jones, dont il jouait le père dans Indiana Jones et la dernière croisade, il avait déclaré qu'il n'y reprendrait pas son rôle car "la retraite est simplement trop amusante". Dommage pour nous !

publié le 21 juin, Marine de Guilhermier

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