Actus cinéma

Marion Cotillard : Guillaume Canet "m'a fait rouler des pelles à tous ses potes"

Invitée sur le plateau de Quotidien afin de faire la promotion de "Nous finirons ensemble" au côté, entre autres, de son compagnon Guillaume Canet, Marion Cotillard en a profité pour le taquiner.

Près de 10 ans après "Les Petits mouchoirs", la célèbre bande d'amis est de retour dans "Nous finirons ensemble", en salle depuis le 1er mai 2019. Parmi le très beau casting réuni par Guillaume Canet, on retrouve donc évidemment celle dont il partage la vie et a récemment fait l'éloge : Marion Cotillard. Cette dernière est également très fière de pouvoir tourner dans un film de son compagnon, mais elle a profité de leur passage dans l'émission Quotidien le 30 avril dernier pour le taquiner.

"Ils ont continué juste pour l'emmerder"

Ainsi, dans "Nous finirons ensemble", Marie, le personnage qu'elle interprète, a une aventure avec l'un de ses amis. Yann Barthès a donc demandé à Guillaume Canet comment il appréhendait de filmer ce genre de scènes. "Parfois, c'est compliqué, parce que ça m'est arrivé déjà de filmer Marion dans des relations avec d'autres acteurs et c'est toujours un peu étrange", a-t-il expliqué, avant d'ajouter : "Mais en même temps, on est aussi sur l'histoire qu'on raconte. Et là, en l'occurrence, il y a deux personnages, on a très très envie qu'il se passe quelque chose." Interrogée à son tour sur ce sujet, Marion Cotillard a, quant à elle, été beaucoup plus directe : "Je crois qu'il m'a fait rouler des pelles à tous ses potes."

Surpris par sa réponse, Guillaume Canet a tenté de modérer son propos, mais Marion Cotillard a continué sur sa lancée : "Mais si, j'ai embrassé Mathieu Chedid, j'ai embrassé Maxim Nucci..." Alors que le réalisateur essayait toujours de calmer le jeu, rappelant notamment pour son fils, devant la télé, qu'il ne s'agissait que de cinéma, François Cluzet en a profité pour en rajouter une couche : "Ce qui était très drôle, c'est qu'ils ont continué juste pour l'emmerder." Et Guillaume Canet de confirmer : "Je disais 'Coupez !' et ils continuaient."

publié le 2 mai, Solène Filly

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