Actus cinéma

Léa Seydoux, star d'une romance futuriste avec Charlie Hunnam

Léa Seydoux lors du photocall de

© Shootpix, Abaca

Alors qu'on la retrouvera dans moins d'un mois à l'affiche du prochain long-métrage de Xavier Dolan, "Juste la fin du monde", Léa Seydoux continue d'alterner tournages en français et en anglais, et vient de rejoindre un tout nouveau projet de science-fiction aux côtés de Charlie Hunnam.

Si la comédienne ne fait pas toujours l'unanimité au sein des cinéphiles, force est toutefois de constater qu'elle mène une carrière bien remplie. Après un énième passage sur la Croisette en mai dernier, Léa Seydoux renouera prochainement avec la science-fiction, un genre qu'elle a déjà expérimenté en 2015 pour "The Lobster".

L'actrice récompensée d'une Palme d'or en 2013 pour son rôle dans "La Vie d'Adèle" vient en effet de signer, comme nous l'apprend THR, pour tenir la tête d'affiche d'un mystérieux projet encore sans titre, pour lequel elle donnera la réplique à Charlie Hunnam, la star de "Sons of Anarchy" et "Pacific Rim" que l'on attend en début d'année prochaine comme héros du "King Arthur" de Guy Ritchie.

Un projet ambitieux

Si très peu d'informations ont pour le moment été dévoilées à propos du long-métrage, notons que celui-ci sera dirigé par un réalisateur déjà remarqué pour son audace, Drake Doremus. Révélé en 2011 par la romance "À la folie", qui lui a valu le Grand Prix du Jury à Sundance, le cinéaste a depuis tourné l'intrigant "Equals", relecture du "1984" de George Orwell avec Kristen Stewart et Nicholas Hoult, qui devrait bientôt débarquer sur nos écrans.

Doremus est notamment connu pour laisser ses comédiens improviser la majorité des dialogues sur le plateau. Difficile toutefois de savoir à l'heure actuelle jusqu'à quel point ce nouveau projet sera écrit ou non, puisque le tout reste encore enveloppé d'un grand voile de mystère. On sait seulement qu'il s'agira d'une nouvelle romance se déroulant dans un univers futuriste, entre Léa Seydoux et Charlie Hunnam cette fois-ci. Pour le reste, il va falloir faire preuve de patience...

publié le 22 août, Pauline Julien

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