Kong Skull Island : "une réinvention de la mythologie" d'après Tom Hiddleston
© Michael Tran, Getty Images
À l'affiche depuis mercredi de High-Rise, Tom Hiddleston est surtout attendu à partir du 8 mars 2017 dans l'un des rôles principaux de Kong : Skull Island, un prequel de King Kong qui ne manque pas d'ambition. Difficile a priori, de véritablement renouveler l'histoire du roi des gorilles. Pourtant, l'interprète de Loki assure que les fans ne seront pas déçus et que cet énième film cherche à aller plus loin que d'habitude.
Dans une interview accordée à Entertainment Weekly, Tom Hiddleston confie ainsi : "Je ne veux pas en dévoiler trop... Mais c'est une réinvention totale de la mythologie. Ça suit essentiellement un groupe très disparate composé de voyageurs, explorateurs et soldats qui découvrent une île dans le Pacifique sud. Et ça se passe à une époque où on peut concevoir qu'il y ait encore des endroits à découvrir sur Terre. Ce qu'ils trouvent sur cette île est surprenant, et chaque personnage y apporte une réponse très différente. Le film sera spectaculaire et épique, mais le drame humain est également très intéressant".
En revenant aux origines du mythe, Kong : Skull Island semble donc vouloir explorer davantage l'histoire du célèbre gorille par rapport au premier King Kong de 1933 ou au remake de Peter Jackson en 2005 et proposer au spectateur de s'ouvrir à de nouvelles perspectives. N'oublions pas que la Warner, qui a récemment récupéré les droits de la créature, envisage, à long terme, de produire un film crossover King Kong vs Godzilla. Espérons donc que cette réinvention promise soit bel et bien au rendez-vous et séduise le public en masse car un échec au box-office viendrait une nouvelle fois compliquer les plans du studio.
Rappelons quoi qu'il en soit que Kong : Skull Island sera réalisé par Jordan Vogt-Roberts, qui s'est fait connaître dans le cinéma indépendant avec The Kings Of Summer, et sera porté, outre Tom Hiddleston, par la jeune oscarisée Brie Larson, mais aussi Corey Hawkins, Toby Kebbell, ou encore John Goodman.
publié le 8 avril, Pauline Julien
