Kad Merad se confie sur son rôle dans Comme des Rois
L'acteur, à l'affiche le 2 mai de "Comme des rois", s'est confié sur Europe 1 sur son rôle d'arnaqueur, mais aussi sur sa jeunesse et les inquiétudes de son père.
Dans "Comme des Rois", Kad Merad joue le rôle d'un père qui a du mal à payer son loyer et qui s'inquiète pour l'avenir de son fils. La solution ? Monter de petites arnaques en se faisant passer pour des plombiers, ou en faisant du porte-à-porte. Un métier que l'acteur a d'ailleurs exercé, plus jeune, en vendant des encyclopédies Universalis. Mais c'est dans le personnage du fils, interprété par Mottet Klein, que Kad Merad se reconnaît le plus.
Un père angoissé
Car, comme Kacey, lui aussi a rêvé de devenir acteur. Une décision pas toujours facile à accepter pour des parents, qui s'inquiètent forcément pour l'avenir de leur enfant, comme il l'a expliqué dans l'émission Un dimanche de cinéma : "J'y suis allé progressivement. J'ai commencé par faire de la musique (...)." Et, encore aujourd'hui, son père n'est pas totalement rassuré. "Là, il voit que je travaille pas mal en ce moment. Dès qu'il ne me voit plus à la télé ou qu'il n'entend plus parler de moi, il m'appelle et me demande si ça va. Je pense qu'il est angoissé, comme je le suis pour mon fils. Il ne faut surtout pas que je m'arrête de travailler, rien que pour ça !" Pourtant, son père n'a pas de raison de s'inquiéter pour le moment, puisqu'en plus d'être à l'affiche de "Comme des Rois", il était récemment à La Havane avec Pierre Richard pour présenter leur travail lors du festival de cinéma français de Cuba.
L'acteur n'est pas prêt non plus de quitter le petit écran, puisqu'il est bien décidé à jouer son rôle dans "Baron Noir" le plus longtemps possible. Ainsi, alors qu'il était en promotion de la saison 2 de la série de Canal+, il a déclaré à CNews : "Dans cette saison 3, je sais déjà quel va être mon destin politique. Je leur ai dit que de toute façon, je ne quitterai pas la série tant que je ne serai pas président ! Mais je ne vous ai rien dit, on est bien d'accord ?"
publié le 25 avril, Solène Filly