Gardiens de la Galaxie 2 : Vin Diesel polyglotte pour Baby Groot
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Tous ceux qui ont vu "Les Gardiens de la Galaxie" sont forcément tombés sous le charme de Groot, cet arbre extraterrestre qui ne sait dire que son nom. Vin Diesel a récemment confié qu'il lui prêterait sa voix dans pas moins de seize langues pour le deuxième volet, tout en promettant une version bébé encore plus adorable.
Vin Diesel est un acteur investi ! C'est une constante sur toutes les franchises auxquelles il participe et c'est d'autant plus vrai sur Les Gardiens de la Galaxie où le comédien double Groot. En effet, pour le premier opus, la star de Fast & Furious avait enregistré la seule ligne de son personnage ("I am Groot") dans six langues différentes dont le français, avec une faute rajoutée, ce qui donnait "Je s'appelle Groot".
Vin Diesel, doubleur professionnel
Pour "Les Gardiens de la Galaxie 2", Diesel passe à la vitesse supérieure en doublant l'arbre dans seize langues différentes comme il l'a révélé pendant le talk-show The Tonight Show with Jimmy Fallon. Avant d'en dire plus lors d'une interview avec Collider : "James Gunn veut augmenter le nombre de langues dans ce film. Donc, pour chaque ligne, chaque moment, je dois le faire 15, 16 fois dans différents langages, ce qui est cool parce que cela veut dire que ma voix est entendue dans des pays où cela n'est pas toujours le cas. (...) J'adore ça, mais c'est un vrai défi."
Un tout nouveau Groot
Toujours pour Collider, l'acteur est revenu sur les différences entre la version adulte de son personnage et la version bébé, que nous pourrons découvrir dans le deuxième opus en salle le 26 avril 2017. "Il ne pourrait pas être plus naïf en bébé Groot. J'ai toujours pensé que le Groot que l'on voit dans le premier Gardiens est un Groot du niveau étudiant, il n'est pas tout à fait adulte mais c'est un homme. Et une fois qu'il se sacrifie à la fin du film, disons qu'il doit recommencer à zéro, mais nous allons voir cet adorable et gourde bébé Groot courir partout à l'écran et apprenant au fil du temps", explique-t-il.
publié le 18 octobre, Marine de Guilhermier
