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Les Bronzés : 10 choses que vous ignoriez (peut-être) sur ce film culte

En novembre 1978, "Les Bronzés" sortait au cinéma. Quarante ans plus tard, le long-métrage est devenu on ne peut plus culte et a engendré deux suites tout aussi appréciées des Français. Pour fêter cet anniversaire, (re)découvrez 10 anecdotes sur le film qui a propulsé les comédiens du Splendid au rang de stars.

  • © BestImage, COADIC GUIREC 1/10

    C'est l'adaptation d'une pièce de théâtre

    Avant d'être un film à succès, l'histoire de Jean-Claude, Popeye, Gigi et les autres était une pièce de théâtre intitulée "Amour, coquillages et crustacés" créée par la troupe du Splendid d'après leur propre expérience en club de vacances. Une oeuvre qu'ils ont longtemps jouée à guichet fermé dans leur café-théâtre avant de l'adapter pour le cinéma. Gérard Jugnot, Thierry Lhermitte, Josiane Balasko et Michel Blanc à l'inauguration du Restaurant des Bains en 1997.

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, BAHI 2/10

    Les acteurs n'aimaient pas le titre

    Si le nom des Bronzés est désormais à tout jamais associé aux comédiens du film, l'équipe ne l'appréciait guère au départ comme le réalisateur, [PERSON=1595]Patrice Leconte[/PERSON], l'expliquait à [ITALIC]AlloCiné[/ITALIC] en janvier 2018 : "[ITALIC]On n'aimait pas ce titre, du tout. Le titre de la pièce de théâtre était difficile à mémoriser. Mais Les Bronzés, ça nous énervait beaucoup.[/ITALIC]" Dans le documentaire [ITALIC]La Folle Histoire du Splendid[/ITALIC], [PERSON=82]Gérard Jugnot[/PERSON] précisait : "[ITALIC]On n'aimait pas le terme bronzés, pour nous c'était raciste, mais on n'a pas trouvé mieux ![/ITALIC]" [ITALIC]Josiane Balasko et Thierry Lhermitte dans l'émission Le plus grand cabaret du monde.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, Action Press 3/10

    La troupe a imposé Patrice Leconte à la réalisation

    Yves Rousset-Rouard - l'oncle de [PERSON=170]Christian Clavier[/PERSON] qui produisait le film - voulait un réalisateur confirmé pour le mettre en scène, ce que n'était pas Patrice Leconte à l'époque puisqu'il n'avait réalisé qu'un seul long-métrage, qui n'avait pas bien marché mais que la troupe du Splendid avait aimé. La bande a alors insisté pour que ce soit lui qui décroche le job, et non Claude Zidi ou [PERSON=1006]Jean-Jacques Annaud[/PERSON] comme le souhaitait le producteur. [ITALIC]Christian Clavier et Patrice Leconte à la première du film "Une heure tranquille" à Berlin, le 1er avril 2015.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, AGENCE 4/10

    Coluche s'était proposé pour le diriger

    Un certain [PERSON=235]Coluche[/PERSON] a même proposé aux acteurs de réaliser "[MOVIE=9798]Les Bronzés[/MOVIE]". Une anecdote sur laquelle est revenue Patrice Leconte lors de son interview à[ITALIC] AlloCiné[/ITALIC] en début d'année. "[ITALIC]Au Splendid, ils se disaient que s'ils faisaient le film avec Coluche, il allait leur échapper, il allait les déposséder du film. Donc ils n'ont pas voulu[/ITALIC]", a-t-il ainsi expliqué. [ITALIC]Archive de Coluche sur un plateau de télévision.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, JLPPA 5/10

    Des algues venues de France

    Le tournage du film a eu lieu en Côte d'Ivoire, un pays où il n'y a pas d'algues. Or, le scénario prévoyait une scène où Jean-Claude Dusse, nu, cache son intimité avec celles-ci. La solution trouvée pour remédier à ce problème ? Faire venir des algues de France, "[ITALIC]de Bretagne, ou de chez un marchand d'huîtres de Paris[/ITALIC]", essayait de se souvenir Patrice Leconte lors de son entretien à [ITALIC]AlloCiné[/ITALIC] avant de préciser que seul "[ITALIC]un petit container d'algues[/ITALIC]" était arrivé et qu'il n'y "[ITALIC]avait pas de quoi faire trois prises[/ITALIC]". [PERSON=172]Michel Blanc[/PERSON] n'avait donc pas droit à l'erreur ! [ITALIC]Michel Blanc en 1983.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, JLPPA 6/10

    Chaque acteur écrivait ses répliques

    Ce n'est pas une seule plume qui a signé le scénario des "Bronzés" mais de nombreuses puisque toute la troupe est créditée à l'écriture. Et selon les secrets de tournage d'[ITALIC]AlloCiné[/ITALIC], chaque acteur était en charge de son personnage et lui écrivait ses répliques, tout en laissant, bien sûr, une grande place à l'improvisation sur le tournage. [ITALIC]Christian Clavier et Marie-Anne Chazel lors de l'émission Vivement Dimanche à Paris, le 1er octobre 2000.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, VEEREN 7/10

    Deux caméos pour Patrice Leconte

    Le réalisateur apparaît non pas une, mais deux fois dans le long-métrage. On peut ainsi l'apercevoir dans la scène de l'atelier de peinture sur poitrines et un peu plus loin dans le film, assis à côté de Michel Blanc au moment ou Gérard Jugnot lui renverse une tarte sur la tête. [ITALIC]Patrice Leconte lors du Mobile Film Festival au cinéma MK2 Bibliothèque à Paris, le 13 mars 2018.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, DOMINIQUE JACOVIDES 8/10

    La troupe ne s'attendait pas au succès du film

    Gérard Jugnot, [PERSON=173]Josiane Balasko[/PERSON], Michel Blanc, [PERSON=171]Marie-Anne Chazel[/PERSON], Christian Clavier, [PERSON=491]Thierry Lhermitte[/PERSON] et leurs amis ne s'attendaient pas au succès rencontré par le film à sa sortie. Inconnus du grand public à l'époque, ils ont pourtant réussi à réunir 2,3 millions de spectateurs en salle. Sans compter qu'avec le temps, le film est tout simplement devenu culte. [ITALIC]Martin Lamotte, Marie-Anne Chazel et Gérard Jugnot lors du premier championnat du monde de pétanque molle à Neuilly.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, VEEREN 9/10

    Michel Blanc a piégé Patrice Leconte

    Toujours lors de son interview à [ITALIC]AlloCiné[/ITALIC] en janvier dernier, Patrice Leconte s'est remémoré une sympathique anecdote : le jour où Michel Blanc lui a fait croire qu'il quittait le projet. "[ITALIC]Je (le) vois débouler dans le bar, le T-Shirt arraché, ensanglanté, le nez ouvert, me disant : 'Patrice, je reste pas une minute de plus, je prends mon billet d'avion, je rentre ce soir à Paris !'[/ITALIC]", raconte-t-il, et de poursuivre : "[ITALIC]Quand il a vu que j'étais tout blême, parce que je me disais que mon film était à l'eau, ils sont tous sortis de derrière les buissons et il a retiré son postiche de faux nez éclaté.[/ITALIC]" [ITALIC]Josiane Balasko et Michel Blanc à la première du film "Demi-Soeur" à l'UGC Ciné Cité Bercy à Paris, le 3 juin 2013.[/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

  • © BestImage, JEAN LOUIS MACAULT 10/10

    Une suite n'était pas prévue

    Presque encore plus culte que le premier film, "[MOVIE=3198]Les Bronzés font du ski[/MOVIE]" a failli ne jamais voir le jour car la troupe du Splendid ne voulait en aucun cas donner une suite au film. Grand bien leur en a fait de changer d'avis, poussés par Yves Rousset-Rouard qui croyait énormément au potentiel des personnages. [ITALIC]Christian Clavier et Gérard Jugnot lors d'une projection privée des "Bronzés 3" au cinéma Biarritz Élysée. [/ITALIC]

    Marine de Guilhermier

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