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10 gentils inoubliables au cinéma

Le cinéma n'est pas rempli de méchants personnages, au contraire, parfois certains se démarquent par leur gentillesse et leur bienveillance. Des qualités qui les rendent inoubliables.

  • © Sipa, INTERFOTO USA 1/10

    François Pignon dans "Le dîner de con" (1998) de Francis Veber

    "Il est mignon monsieur Pignon, il est méchant monsieur Brochant !" Eh oui, François Pignon (Jacques Villeret) est un personnage faisant preuve d'une grande gentillesse et d'une grande bonté, à la différence de Pierre Brochant (Thierry Lhermitte) qui l'a invité à dîner dans l'unique but d'en faire le "con" de la soirée. Pourtant, au fil du long-métrage de Francis Veber, si celui qui a réalisé une Tour Eiffel en allumettes commet de nombreuses maladresses, l'éditeur fortuné s'aperçoit qu'il vaut mieux faire preuve d'une gentillesse innocente que d'être une personne méprisante. Quoi que, "Le Dîner de cons" a été honoré de trois César.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, SIPA 2/10

    Forrest Gump dans "Forrest Gump" (1994) de Robert Zemeckis

    Le long-métrage "[MOVIE=10568]Forrest Gump[/MOVIE]" de [PERSON=1457]Robert Zemeckis[/PERSON] s'adapte du roman du même nom de Winston Groom, sorti en 1986. L'histoire, [ITALIC]Allociné[/ITALIC] la résume ainsi : "[ITALIC]Quelques décennies d'histoire américaine, des années 1940 à la fin du XXème siècle, à travers le regard et l'étrange odyssée d'un homme simple et pur, Forrest Gump[/ITALIC]." Dès les débuts du film, Forrest fait preuve d'une grande gentillesse et d'humilité. Assis sur un banc dans la ville de Savannah dans 1981, il attend le bus. À mesure que différents interlocuteurs vont prendre place à ses côtés, le protagoniste va leur raconter la fabuleuse histoire de sa vie. Étant considéré comme "[ITALIC]culturellement, historiquement ou esthétiquement important[/ITALIC]", en 2011, le film a été sélectionné par la National Film Registry de la Bibliothèque du Congés américain pour y être conservé. 6 Oscars sont décernés pour "Forrest Gump" en 1995.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, REX FEATURES 3/10

    George Bailey dans "La vie est belle" (1946) de Frank Capra

    Dans ce classique du cinéma américain, James Stewart incarne le personnage de George Bailey. Un homme dont le récent décès de son père l'oblige à reprendre les rênes de l'entreprise familiale de prêts à la construction, qui permet aux plus déshérités de se loger. Ce qui l'entrainera à se confronter à l'homme le plus riche de la ville. Alors qu'il est sur le point de réussir à poursuivre le but de son père, il perd les 8 000 dollars qu'il devait déposer à la banque. Le soir de Noël, il songe à se suicider. "[ITALIC]C'est alors que le Ciel dépêche à ses côtés un ange de seconde classe, qui pour gagner ses ailes devra l'aider à sortir de cette mauvaise passe...[/ITALIC]", ajoute [ITALIC]Allociné[/ITALIC]. Un long-métrage qui renforce l'envie de faire le bien.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, MARY EVANS 4/10

    Atticus Finch dans "Du silence et des ombres" (1962) de Robert Mulligan

    En 2003, l'Institut Américain du Film (AFI) a organisé un vote auprès de quelque 1 500 acteurs, réalisateurs, critiques et autres professionnels d'Hollywood dans le but d'élire le plus gentil et le plus méchant des personnages du cinéma américain. Dans le classement des héros les plus sympathiques, le gratin hollywoodien s'est accordé pour hisser le personnage d'Atticus Finch incarné par [PERSON=308512]Gregory Peck[/PERSON] dans "[MOVIE=42792]Du silence et des ombres[/MOVIE]" (1962) de Robert Mulligan à la première place. L'histoire se résume ainsi : "[ITALIC]Atticus Finch est un avocat veuf, qui élève son fils et sa fille dans une petite ville du Sud américain secouée par le racisme, et ne dévie pas du droit chemin quand il est amené à prendre la défense d'un jeune homme noir accusé d'avoir violé une femme blanche[/ITALIC]." Celle qui était à l'époque la directrice du AFI, Jean Picker Firstenburg expliquait : "[ITALIC]Je pense qu'Atticus Finch représente exactement la bonté que chacun d'entre nous aimerait trouver chez les autres et en soi-même. Nous traversons des temps difficiles et nous recherchons les lueurs qui nous montrent la voie[/ITALIC]." Le long-métrage a remporté trois Oscars et trois Golden Globes.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, MARY EVANS 5/10

    Rick Blaine dans "Casablanca" (1947) de Michael Curtiz

    Atticus Finch n'est pas le seul personnage de cette liste à apparaître au classement des personnages les plus gentils du cinéma américain. À ses côtés s'est glissé Rick Blaine ([PERSON=269597]Humphrey Bogart[/PERSON]) de "[MOVIE=2645]Casablanca[/MOVIE]" (1947) de Michael Curtiz. Ce long-métrage se résumant ainsi : "[ITALIC]À Casablanca, pendant la Seconde Guerre mondiale, le night-club le plus couru de la ville est tenu par Rick Blaine, un Américain en exil. Mais l'établissement sert également de refuge à ceux qui voudraient se procurer les papiers nécessaires pour quitter le pays. Lorsque Rick voit débarquer un soir le dissident politique Victor Laszlo et son épouse Ilsa, quelle n'est pas sa surprise de retrouver dans ces circonstances le grand amour de sa vie..[/ITALIC]". Le personnage de Rick Blaine permet à la femme de sa vie de s'enfuir avec un autre homme, sans penser aux conséquences qu'il devra subir.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, SIPA 6/10

    Oskar Schindler dans "La liste de Schindler" (1994) de Steven Spielberg

    En 1993, Steven Spielberg s'inspire du livre de Thomas Keneally (1982) qui décrit comment l'industriel allemand Oskar Schindler a réussi, pendant la Seconde Guerre mondiale, l'exploit de sauver la vie de 1 200 juifs promis à la mort dans le camp de concentration de Płaszów, pour réaliser l'une de ses plus grandes oeuvres. Si les actes du personnage d'Oskar Schindler ([PERSON=869]Liam Neeson[/PERSON]) n'occulte pas le fait qu'il tire un profit matériel de la situation, le geste n'a pas d'égal et mérite sa treizième place au classement de l'AFI des plus "[ITALIC]gentils[/ITALIC]" du cinéma américain. "[MOVIE=9393]La liste de Schindler[/MOVIE]" a été honoré de sept Oscars en 1994.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, REX FEATURES 7/10

    E.T dans "E.T., l'extra-terrestre" (1982) de Steven Spielberg

    Dans ce long-métrage de [PERSON=445]Steven Spielberg[/PERSON] dans lequel, Elliott, un petit garçon solitaire se lie d'amitié avec un extraterrestre abandonné sur Terre, il est difficile de dire lequel fait le plus preuve de gentillesse. Si avec l'aide ses frères et soeurs Elliott ([PERSON=271579]Henry Thomas[/PERSON]) le recueille et l'aide à reprendre contact avec ses congénères, le tout en essayant de le garder caché de leur mère et du gouvernement américain, [MOVIE=29718]"E.T"[/MOVIE] fait preuve d'une considération implacable pour ses sauveurs. Et lorsqu'il doit leur dire au revoir, son geste envers Elliott ne laisse aucun doute quant à sa prévenance.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, REX FEATURES 8/10

    Edward dans "Edward aux mains d'argent" (1991) de Tim Burton

    Edward ([PERSON=12]Johnny Depp[/PERSON]) est l'oeuvre inachevée d'un inventeur, qui est mort avant d'avoir pu mettre un point final à son travail. Ainsi, le personnage se retrouve affublé de ciseaux à la place des mains. Dans le château de son créateur, il mène une vie reclus de tous jusqu'au jour où Peg Boggs ([PERSON=272299]Dianne Wiest[/PERSON]), représentante en cosmétiques, le découvre et l'emmène dans sa douce banlieue. D'une grande gentillesse, et en usant de son talent avec lequel il utilise les ciseaux, Edward va acquérir une célébrité, qui se retournera contre lui, en s'attirant les foudres de la communauté. À nouveau "[MOVIE=27624]Edward aux mains d'argent[/MOVIE]" va devoir faire face au monde, seul. Un personnage faisant preuve d'une tendresse des plus émouvantes.

    Mégane Bellée

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 9/10

    Sullivan dans "Monstres et cie" (2001) de Pete Docter

    Si le métier du gros monstre bleu poilu de "[MOVIE=26862]Monstres et Cie[/MOVIE]" est de faire peur aux enfants afin d'en récolter les hurlements qui produisent l'énergie dont Monstropolis a besoin, sa rencontre avec Bouh, une petite fille qui n'est pas effrayée par les monstres, va le changer en un personnage adorable. Et lorsque Sullivan doit se résoudre à ramener la petite fille dans le monde des humains, les adieux sont déchirants.

    Mégane Bellée

  • © BestImage, Agence 10/10

    Guillaume dans "Les Garçons et Guillaume, à table !" (2013) de Guillaume Gallienne

    En 2013, [PERSON=270952]Guillaume Gallienne[/PERSON] met sa vie en scène dans "[MOVIE=180103]Les Garçons et Guillaume, à table ![/MOVIE]". Le pensionnaire de la Comédie-Française offre aux spectateurs la vision d'un homme faisant preuve d'une innocence absolue, l'entraînant dans une vie dont il n'est pas le décisionnaire. À la sortie du film, le réalisateur raconte : "[ITALIC]Quand j'étais enfant, ma mère disait : 'Les garçons et Guillaume'. Ce 'et' m'a fait croire que pour rester unique aux yeux de cette maman sans tendresse mais extraordinaire, pour me distinguer de cette masse anonyme qu'étaient les garçons, il ne fallait surtout pas[/ITALIC] [ITALIC]que j'en sois un. J'ai tout fait pour être une fille, donc, et quel meilleur modèle que ma mère ?[/ITALIC]" Il "[ITALIC]ne se contente pas d'imiter les femmes, il les incarne[/ITALIC]", ajoute [ITALIC]Allociné[/ITALIC]. [ITALIC]Guillaume Gallienne à la première du film "Les Garçons et Guillaume, à table !" à Paris, le 18 novembre 2013.[/ITALIC]

    Mégane Bellée

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