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10 films où les sorcières sont à l'honneur

De leurs pouvoirs magiques, les sorcières ont ensorcelé le septième art, mises à l'honneur dans de nombreuses oeuvres cinématographiques.

  • © Sipa, RONALD GRANT/MARY EVANS 1/10

    "Hocus Pocus" (1993) de Kenny Ortega

    Dans la petite ville de Salem, la légende raconte que si une âme vierge allume la bougie à la flamme noire le soir d'Halloween, à la Pleine Lune, les soeurs Sanderson (Bette Midler, Sarah Jessica Parker et Kathy Najimy) qui ont péri par la corde, il y a trois cent ans, renaîtront de leurs cendres. La nuit du 31 octobre 1993, Max Dennison (Omri Katz) escorte sa soeur Dani (Thora Birch) à la recherche de friandises. Quand les Dennison tombent sur Alisson (Vinessa Shaw), une camarade de classe de Max, ils décident de se rendre dans la vieille demeure des sorcières. Loin de s'imaginer que la légende dit vrai, le lycéen allume la flamme, qui les condamnera à être pourchassés par les soeurs Sanderson. Imaginé comme un conte pour enfants, "Hocus Pocus" ensorcèle la nuit d'Halloween. Une suite est en préparation.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, REX FEATURES 2/10

    "Les Sorcières d'Eastwick" (1987) de George Miller

    Dans le petit village puritain d'Eastwick où jadis furent brûlées de nombreuses sorcières accusées d'être en affaires avec le Diable, trois amies, Jane ([PERSON=520]Susan Sarandon[/PERSON]), Sukie ([PERSON=71]Michelle Pfeiffer[/PERSON]) et Alexandra (Cher) mènent une existence des plus communes rythmée par leurs soirées entre copines du jeudi soir, quand un certain Daryl Van Horne (Jack Nicholson) prend place dans la plus ancienne des demeures du coin. Charmant au premier abord, son rapprochement avec les trois femmes engendre d'étranges événements. En 1987, George Miller signe cette première adaptation du roman de John Updike. Grâce à sa performance, Jack Nicholson est honoré lors de trois cérémonies (Los Angeles Film Critics Association Awards, New York Film Critics Circle Awards, et Saturn Awards) dans la catégorie du Meilleur Acteur.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, Moviestore/Shutterstock 3/10

    "Les Sorcières" (1990) de Nicolas Roeg

    Si dans de multiples oeuvres les sorcières se reconnaissent entre mille, dans le roman "Sacrées Sorcières" de Roald Dahl, elles apparaissent comme des femmes ordinaires, à un seul détail près, la lueur violette qui se reflète dans leurs yeux. Une différence qui rend l'histoire bien diabolique. Sous la direction de Nicolas Roeg en 1990, le bouquin prend vie dans le long-métrage "[MOVIE=51598]Les Sorcières[/MOVIE]". En vacances avec sa grand-mère dans un hôtel, Luke surprend la Sorcière Suprême ([PERSON=264868]Anjelica Huston[/PERSON]) lors de la réunion annuelle des sorcières d'Angleterre, alors qu'elle révèle à ses semblables le plan diabolique qu'elle a imaginé afin de supprimer tous les enfants du pays.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, REX FEATURES 4/10

    "Les Ensorceleuses" (1998) de Griffin Dunne

    Depuis trois siècles, les femmes Owens naissent avec des pouvoirs. La pionnière, Maria, a été contrainte de s'exiler alors qu'elle était enceinte d'un homme qui l'a abandonnée. Pour survivre après ce chagrin d'amour, elle s'est jetée un sort l'empêchant d'aimer à nouveau. Mais sa rancoeur grandissante, le sort s'est transformé en une malédiction touchant toutes ses descendantes. Trois cent ans plus tard, les soeurs Gillian ([PERSON=383]Nicole Kidman[/PERSON]) et Sally ([PERSON=610]Sandra Bullock[/PERSON]) emménagent chez leurs tantes sorcières, après la mort de leur père, victime de la malédiction, et de leur mère, morte d'un coeur brisé. Si l'une multiplie les conquêtes, l'autre a eu deux enfants avec un mari, tué par la malédiction. "[MOVIE=12479]Les Ensorceleuses[/MOVIE]" mis en scène par Griffin Dunne s'inspire de la nouvelle d'Alice Hoffman, qui dira a propos du long-métrage à sa sortie : "[ITALIC]Le résultat est éblouissant ! En pénétrant dans ce décor, je n'ai pas retrouvé mon propre monde imaginaire, mais j'ai découvert le regard d'une autre sur ce monde, et me suis sentie transportée dans un univers magique et pourtant parfaitement réel.[/ITALIC]"

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, MARY EVANS 5/10

    "Les sorcières de Salem" (1957) de Raymond Rouleau

    En 1957, Raymond Rouleau relate le procès des Sorcières de Salem survenu en 1692. Le réalisateur offre une oeuvre librement inspiré de la pièce homonyme du dramaturge américain Arthur Miller. "[ITALIC]Au XVIIe siècle, dans le petit village de Salem dans le Massachusetts, la servante Abigail Williams ([PERSON=1871]Mylène Demongeot[/PERSON]) se livre à la sorcellerie pour se venger de sa maîtresse Elisabeth Proctor (Simone Signoret), qui l'a renvoyée à cause de la relation adultérine qu'elle avait avec son époux ([PERSON=1926]Yves Montand[/PERSON]). Arrêtée, elle prétend être une victime et la cour de justice formée à cette occasion va alors envoyer à la potence toutes les personnes dénoncées comme sorcières par les jeunes filles qu'Abigail a eu le temps de mettre en son pouvoir[/ITALIC]", résume [ITALIC]Allociné[/ITALIC]. Ce long-métrage offre à [PERSON=59]Simone Signoret[/PERSON] le BAFTA de la meilleure actrice étrangère en 1958.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 6/10

    "Dangereuse Alliance" (1996) de Andrew Fleming

    Un an avant le lancement de la série "Charmed", le générique résonne déjà dans "[MOVIE=15111]Dangereuse Alliance[/MOVIE]". Fraîchement installée à Los Angeles avec son père et sa belle-mère, Sarah Bailey ([PERSON=275764]Robin Tunney[/PERSON]) se prend d'amitié pour Nancy (Fairuza Balk), Bonnie ([PERSON=1707]Neve Campbell[/PERSON]) et Rochelle (Rachel True). La rumeur raconte que les jeunes filles sont des sorcières... Et si c'était vrai ? Si le distributeur n'était pas convaincu du potentiel du film, les recettes au box-office ont démontré qu'il avait tort. À mesure que le temps passe, la notoriété du long-métrage a grandi, devenant culte aux États-Unis.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, INTERFOTO USA 7/10

    "Le Projet Blair Witch" (1999) d'Eduardo Sánchez et Daniel Myrick

    À l'automne 1994, [PERSON=268617]Heather Donahue[/PERSON] embarque Joshua Leonard et Michael Williams dans les profondeurs de la forêt de Black Hill pour réaliser un documentaire sur la légende des sorcières de Blair. C'est la dernière fois qu'ils donneront signe de vie. Un an plus tard, le film est retrouvé mais les trois étudiants demeurent portés disparus. Pour réaliser un long-métrage plus vrai que nature, les acteurs sont "[ITALIC]lâchés pendant huit jours en pleine forêt, avec très peu d'instructions, dans un univers qu'ils ne connaissaient pas. Ils étaient équipés de deux caméras, une cinéma 16mm et une vidéo HI8, et d'un système de navigation GPS (Global Positioning Satellite), habituellement utilisé par les pêcheurs et les chasseurs[/ITALIC]", détaille [ITALIC]Allociné[/ITALIC]. Si "[MOVIE=20268]Le Projet Blair Witch[/MOVIE]" a coûté 60 000 dollars (environ 50 800 euros) à être mis en scène, sa diffusion en salle a rapporté 248 639 099 dollars, ce qui en fait l'un des films les plus rentables de l'Histoire. En 1999, le long-métrage remporte le Prix de la Jeunesse lors du Festival de Cannes.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © Sipa, INTERFOTO USA 8/10

    "Les Sorcières d'Halloween" (1998) de Duwayne Dunham

    À Halloweentown, le treizième Halloween d'une sorcière marque l'achèvement de son apprentissage, dans le cas contraire, ses pouvoirs disparaîtront à tout jamais. Angie Cromwell, puissante sorcière, est en visite chez sa fille Gwen au pays des mortels. Ne réussissant pas à la convaincre de laisser la jeune Marnie, 13 ans, suivre son initiation à la sorcellerie, Angie prend la poudre d'escampette. D'un pas silencieux, les trois enfants Cromwell emboîtent le pas à leur grand-mère à destination de la ville d'Halloween. C'est ainsi qu'ils vont découvrir qu'ils sont les descendants d'une longue lignée de sorciers. Mais c'était sans compter sur le vilain Kalabar. Téléfilm de la collection Disney Channel Original Movie, "[MOVIE=184711]Les Sorcières d'Halloween[/MOVIE]" a su trouver son public, ce qui a donné naissance à trois suites.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © DR, Warner Bros. 9/10

    "Sacrées Sorcières" de Robert Zemeckis, prochainement au cinéma

    Trente ans après Nicolas Roeg, [PERSON=263932]Robert Zemeckis[/PERSON] signe une seconde adaptation cinématographique du chef-d'oeuvre de Roald Dahl "[MOVIE=265585]Sacrées Sorcières[/MOVIE]". Le réalisateur de "Retour vers le futur" met en scène l'histoire de Bruno, un jeune orphelin qui s'installe chez sa grand-mère dans la petite ville de Demopolis, en 1967. Dans une luxueuse station balnéaire, les deux protagonistes prennent place pour quelques jours de détente. Malheureusement, c'est au même moment que la Grande Sorcière réunit ses fidèles pour mettre en oeuvre son plan diabolique. Sortie le 22 octobre 2020 sur HBO Max aux États-Unis, "Sacrées Sorcières" aurait dû prendre place dans les cinémas français le 18 novembre, mais la pandémie engendre un report à une date encore indéterminée.

    Mégane Bellée, Jellyfish France

  • © DR, René Manzor/Canal+ 10/10

    "Un amour de sorcière" (1997) de René Manzor

    Au crépuscule de la sorcellerie, le nombre de sorciers est dans le déclin. Morgane ([PERSON=181]Vanessa Paradis[/PERSON]) sorcière du Bien, est la maman d'un bébé de onze mois, Arthur. Mais le 14 juin à 6h du matin, l'enfant aura un an et devra être parrainé. Malheureusement, le seul sorcier encore présent sur Terre, Molok (Jean Reno), fait le Mal. Et si le bébé est pris en charge pas un mauvais sorcier, il en deviendra un par la suite. Sur le réalisateur, [ITALIC]Allociné[/ITALIC] indique : "[ITALIC]À l'époque, René Manzor fut l'un des rares cinéastes français à avoir osé fréquenter le genre fantastique.[/ITALIC]"

    Mégane Bellée, Jellyfish France

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