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10 espions les plus déjantés du grand écran

Qu'ils le veuillent ou non, ils sont redoutables. Pros (ou presque) de la baston, petits génies (ou pas) dotés de gadgets spectaculaires à faire pâlir d'envie James Bond, ils déjouent les plus grandes menaces mondiales et se battent contre les ennemis les plus machiavéliques...Tout cela sans oublier de nous faire rire. Sans plus attendre, voici les dix espions les plus déjantés du grand écran.

  • © Sipa, NANA PRODUCTIONS 1/10

    OSS 117 dans "Le Caire, nid d'espions" (2006) de Michel Hazanavicius

    On ne peut pas ne pas citer notre James Bond national...enfin, en moins fute-fute. Né à la fin des années 1940 dans les romans de Jean Bruce, ce n'est qu'en 2006, sous l'impulsion du génie de Michel Hazanavicius et avec les traits de Jean Dujardin, que Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, devient un monument de la culture cinématographique française avec "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions". Personnification de la Vieille France avec ses conceptions dépassées et un patriotisme à faire pâlir De Gaulle, l'espion aux multiples gaffes reviendra dans deux autres volets tout aussi ubuesques. Et vous, comment est votre blanquette ?

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 2/10

    Austin Powers dans "Austin Powers" (1997) de Jay Roach

    Quintessence de la parodie de James Bond (tendance Roger Moore) au cinéma, "[MOVIE=10367]Austin Powers[/MOVIE]" s'inscrit dans un humour profondément absurde, inspiré par les performances de Peter Sellers. Joué par [PERSON=756]Mike Myers[/PERSON] , Austin Powers est un célèbre espion britannique qui, après avoir été cryogénisé pendant trente ans, se réveille à la fin du XXe siècle pour lutter contre sa Nemesis de toujours : le bien nommé Dr Evil. Ayant connu un beau succès au box-office, le film connaîtra deux suites en 1999 et 2002 qui déploient également le même humour potache et régressif.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 3/10

    Max Smart dans "Max la menace" (2008) de Peter Segal

    Parfois, être espion, ce n'est pas toujours super glamour. C'est en tout cas la réalité de Max Smart ([PERSON=1462]Steve Carell[/PERSON]), analyste au sein d'une agence ultra-secrète, qui rêve de devenir agent de terrain. Son rêve devient réalité lorsque son agence devient la cible d'une attaque. Pas toujours bien préparé face à l'action, Max peut néanmoins compter sur sa coéquipière, la redoutable agent 99 ([PERSON=1250]Anne Hathaway[/PERSON]), pour l'épauler.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 4/10

    Johnny English dans "Johnny English" (2003) de Peter Howitt

    [ITALIC]James Bond meets Mister Bean[/ITALIC]. Autre parodie du célèbre agent 007, "[MOVIE=44903]Johnny English[/MOVIE]" repose en très grande partie sur le talent comique de [PERSON=895]Rowan Atkinson[/PERSON]. L'acteur campe ici un agent secret du MI7 aussi inepte que hilarant qui tente de déjouer un complot mondial tout en enchaînant les bourdes. Très populaire, le personnage est par la suite revenu dans deux suites en 2011 et 2018.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © DR, 2015 Twentieth Century Fox 5/10

    Susan Cooper dans "Spy" (2015) de Paul Feig

    Susan Cooper ([PERSON=267245]Melissa McCarthy[/PERSON]) est un peu une Max Smart au féminin. Analyste de la CIA, elle assiste à distance le célèbre agent Bradley Fine (Jude Law) jusqu'à ce que celui-ci se fasse tuer lors d'une mission. Susan décide alors d'aller sur le terrain pour venger son ami. Plutôt drôle dans son ensemble, "[MOVIE=222369]Spy[/MOVIE]" est sans doute une des meilleures collaborations entre l'actrice et le réalisateur Paul Feig. En bonus : l'excellente prestation pleine d'auto-dérision de [PERSON=1576]Jason Statham[/PERSON] dans le rôle de l'agent Rick Ford, l'acolyte de Susan.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, LILO 6/10

    Napoléon Solo dans "Agents très spéciaux : Code UNCLE" (2015) de Guy Ritchie

    Adapté d'une série télévisée à succès, "[MOVIE=180341]Agents très spéciaux[/MOVIE]" est sans doute l'un des meilleurs films récents issu de l'esprit survitaminé de[PERSON=294]Guy Ritchie[/PERSON]. Durant les années 1960, Napoléon Solo ([PERSON=279540]Henry Cavill[/PERSON]), fringuant agent de la CIA, se voit contraint de faire équipe avec Illya Kouriakine, membre du KGB joué par Armie Hammer. Au programme : de la baston, de l'action, de la romance, et un caméo express de David Beckham. Parce que oui, et pourquoi pas ?

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, RONALDGRANT/MARY EVANS 7/10

    Wallace Ritchie dans "L'homme qui en savait trop...peu" (1997) de Jon Amiel

    Inspiré par les films d'Hitchcock, à qui il rend d'ailleurs hommage avec son titre, le film reprend à merveille l'archétype développé par la maître du suspense qui voit un homme ordinaire mêlé à une vaste machination. [PERSON=1151]Bill Murray[/PERSON] campe ici Wallace Ritchie, protagoniste tout à fait lambda qui, suite à une succession de quiproquos, est pris par erreur pour un agent secret. Complètement inconscient de ce qui se trame autour de lui, Wallace - convaincu de participer à une pièce de théâtre très réaliste - se retrouve à devoir déjouer un complot visant à rétablir la guerre froide...cela malgré lui.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, INTERFOTO USA 8/10

    Carmen et Juni Cortez dans "Spy Kids" (2001) de Robert Rodriguez

    Le métier d'espion est rarement conseillé aux enfants, sauf lorsque ceux-ci s'appellent Carmen et Juni Cortez. Eux-mêmes enfants d'un duo d'agents secrets (campés par [PERSON=867]Antonio Banderas[/PERSON] et [PERSON=272976]Carla Gugino[/PERSON]) kidnappés par un antagoniste diabolique, les deux mini espions n'ont pas d'autres choix que de se lancer dans une mission périlleuse pour tenter de les délivrer. Véritable succès au box-office, "[MOVIE=29345]Spy Kids[/MOVIE]" a ensuite connu trois suites plus ou moins réussies.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Allocine, Copyright : 2015 Twentieth Century Fox 9/10

    Harry Hart dans "Kingsman : Services secrets" (2015) de Matthew Vaught

    En apparence gentleman bien sous tous rapports, Harry Hart, alias Galahad, cache bien son jeu. Calme, poli et toujours élégant, en plus d'être un excellent mentor pour le héros, Eggsy ([PERSON=541083]Taron Egerton[/PERSON]), Harry est aussi un redoutable espion. Accessoirement, il est aussi, si nécessaire, une véritable machine à tuer. Le personnage - campé par [PERSON=1050]Colin Firth[/PERSON] - est sans nul doute l'un des atouts de ce premier "[MOVIE=198771]Kingsman[/MOVIE]" et offre au film quelques-unes de ses meilleures scènes de baston.

    Marine Pallec, Jellyfish France

  • © Sipa, INTERFOTO USA 10/10

    Les Charlie's Angels dans "Charlie et ses drôles de dames" (2000) de McG

    Bien avant le reboot d'Elizabeth Banks et bien après la célèbre série télévisée des 70's, le trio des Charlie's Angels faisait ses premiers pas au cinéma dans cette comédie d'action déjantée. Même si rétrospectivement "[MOVIE=27119]Charlie et ses drôles de dames[/MOVIE]", et sa suite sortie en 2003, ont désormais un peu vieilli, [PERSON=474]Lucy Liu[/PERSON], Cameron Diaz et [PERSON=450]Drew Barrymore[/PERSON] restent ici excellentes en espionnes de choc.

    Marine Pallec, Jellyfish France

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