Donjons et Dragons : un reboot de la franchise en développement chez Warner Bros
© Silver Pictures, DR
La popularité des dragons et de l'univers fantastique de Game of Thrones n'y est sans doute pas pour rien. D'après The Wrap, Warner Bros développerait actuellement un projet de reboot de la franchise Donjons et Dragons, inspirée du célèbre jeu de rôle datant de 1974.
Souvenez-vous, en 2000, Courtney Solomon signait la première adaptation sur grand écran de Donjons et Dragons. Résultat : un flop retentissant à sa sortie, qui n'a su séduire ni les fans du jeu d'origine, ni la presse. Deux suites ont malgré tout vu le jour (dont un troisième volet sorti directement en DVD) avant que les dragons ne retombent aux oubliettes. Les aficionados du genre eux, gardaient néanmoins l'espoir de voir un jour leur jeu fétiche transposé sur grand écran dans un film de qualité. Un doux rêve qui devrait renaître de ses cendres aujourd'hui puisque Warner Bros s'est associé à Hasbro et Sweetpa Entertainment pour relancer la franchise en préparant un reboot des films. La major a d'ailleurs rapidement engagé un scénariste pour s'atteler au projet. David Leslie Johnson, à qui l'on doit La Colère des Titans, aurait même déjà écrit une première version du script.
Le producteur Greg Silverman s'est largement enthousiasmé de la nouvelle dans un communiqué de presse : "Nous sommes vraiment excités à l'idée de voir le monde de Donjons et Dragons prendre vie sur grand écran. C'est de loin la marque la plus connue en matière de fantasy, genre qui offre les films les plus passionnants à suivre. Donjons et Dragons permet des possibilités créatives infinies, offrant à nos cinéastes d'immenses opportunités pour faire plaisir à la fois aux fans et aux cinéphiles qui ne connaissent pas cet univers". Le vice-président de Hasbro, Stephen Davis, a quant à lui précisé que cette nouvelle intrigue se déroulerait dans les Royaumes Oubliés, soit l'un des univers les plus populaires de Donjons et Dragons. Aucune date de sortie n'a pour le moment été évoquée.
publié le 4 août, Pauline Julien
