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Channing Tatum, obligé par la Paramount à tourner G.I Joe !

Channing Tatum

© Paramount Pictures France, DR

En pleine promotion de Magic Mike XXL, attendu dans les salles le 8 juillet prochain, Channing Tatum a accordé une interview à Howard Stern, au cours de laquelle il n'a pas été tendre avec le film G.I Joe : Le réveil du cobra, dans lequel il joue pourtant !

"Je vais être honnête, je déteste ce film, je le déteste. On m'a obligé à le faire... Après Cher John, ils m'ont proposé un contrat pour trois films, et en tant que jeune acteur vous vous dites 'Oh mon dieu, c'est génial, je vais faire ça !'" révèle Channing Tatum. "Le temps passe, tu as d'autres films, tu construis ta carrière et tu commences à rêver d'un film que tu veux faire, et le studio t'appelle et te dit 'Hey, on a film pour toi. On te l'envoie'", poursuit-il.

S'il était un grand fan de la franchise, Channing Tatum n'avait pas très envie de se glisser dans la peau de Conrad Hauser, alias Duke. Il se serait plutôt vu dans le rôle de Snake Eyes, qui a finalement été dévolu à Ray Park. "Le scénario n'était pas bon. Je ne voulais pas faire quelque chose que je pensais mauvais, et je ne voulais vraiment pas être G.I. Joe", confie-t-il.

Mais, Channing Tatum n'a pas vraiment eu le choix, obligé d'honorer les termes de son contrat avec la Paramount. Et, avec le recul, il se réjouit que ce soit ce film-là qu'il ait finalement tourné. "Cela aurait pu être.... je ne sais pas, Scream 5, par exemple", se rassure l'acteur. "Je suis chanceux et heureux d'avoir été dans ce film-là. Ce n'était pas aussi nul. Quoi qu'il en soit, dans ce cas-là, tu n'as pas d'autre choix. Soit tu fais le film, soit ils te poursuivent en justice..."

G.I. Joe : Le réveil du cobra met en scène les agents de l'équipe d'élite connue sous le nom de G.I. Joe. Disposant des toutes dernières technologies en matière de renseignement et de matériel militaire, ils combattent le puissant marchand d'armes Destro et la mystérieuse organisation terroriste nommée Cobra, qui cherchent à plonger le monde dans le chaos...

publié le 24 juin, Camille Inglebert

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