Batman v Superman : pas de Doomsday au programme
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Les fans de comics risquent d'être déçus : malgré les rumeurs insistantes à ce sujet, il semble que le terrible Doomsday ne soit finalement pas de la partie pour Batman v Superman : L'aube de la Justice. C'est en effet ce qu'a assuré la société Moving Pictures Company, qui s'est occupée des effets spéciaux du film, via le compte de l'un de ses employés, Sean Ray, sur Instagram.
Tout a commencé par la publication d'une image sur le réseau social présentant Batman, Superman et Wonder Woman avec le commentaire suivant : "C'est dans le 'bat!' C'est gagné. Nous venons de finir notre travail sur l'un des plus gros blockbusters de l'année prochaine. Merci pour votre travail". Un post qui n'a évidemment pas manqué d'attirer l'attention des cinéphiles. Parmi ceux-ci, un internaute a notamment osé demander si la société Moving Pictures Company s'était également occupée de la modélisation de Doomsday, l'impitoyable ennemi de Superman. Et à la surprise générale, il a obtenu une réponse : "Malheureusement, Doomsday n'est pas dans le film. Peut-être sera-t-il dans la suite de Man of Steel ou dans Justice League. Qui sait".
Tous les espoirs de voir le super-vilain à l'écran semblent donc vains pour le moment. Ces déclarations font en tout cas s'écrouler les différentes hypothèses des fans, dont certaines justifiaient la réunion de la Justice League par l'apparition de Doomsday, tandis que d'autres l'imaginaient naître de diverses expériences menées par Lex Luthor sur le corps de Zod. À moins bien sûr, que Moving Pictures Company ait simplement tenté de brouiller les pistes... Une chose est sûre : cette étonnante révélation n'a pas dû plaire à Warner Bros. Sean Ray a en effet, non seulement supprimé sa publication, mais aussi son compte Instagram depuis cet excès de bavardage.
En attendant de savoir quand Doomsday fera sa première apparition à l'écran, vous retrouverez Henry Cavill, Ben Affleck et Gal Gadot dans le très attendu Batman v Superman : L'aube de la Justice à partir du 2 mars 2016.
publié le 20 octobre, Pauline Julien
