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Secrets de tournage : Belle et Sébastien : l'aventure continue

Belle et Sébastien : l'aventure continue

© Neue Visionen Filmverleih, DR

Deux ans après leur première aventure sur grand écran, Belle et Sébastien reviennent pour de nouvelles péripéties au coeur des forêts transalpines. Cette fois-ci, Christian Duguay succède à Nicolas Vanier derrière la caméra pour mettre en image ce Belle et Sébastien : l'aventure continue, le film familial de la semaine dont on vous dévoile trois secrets de tournage.

# Malgré le joli succès du premier volet (plus de 2,8 millions de spectateurs dans l'Hexagone), Nicolas Vanier n'a pas rempilé aux manettes de cette suite. Le réalisateur préférait en effet se consacrer à un autre projet, Sologne, une histoire d'amitié entre un jeune garçon citadin envoyé à la campagne par son père au décès de sa mère et un pêcheur un peu bourru. Christian Duguay a alors accepté de reprendre le flambeau, se laissant notamment séduire par le personnage de Sébastien, incarné par le jeune Félix Bossuet, et par la mise en valeur de la nature. Le cinéaste confie d'ailleurs qu'il n'était même pas au courant qu'un premier film avait été fait lorsque son agent l'a contacté.

# Quatre chiens ont été utilisés pour le tournage du long-métrage. Chacun avait ainsi ses spécificités et jouait des scènes différentes, comme l'explique le cinéaste : "Il y avait d'abord Bear, qui était le plus petit, mais qui avait une tête magnifique pour les plans serrés, dégageant une grande douceur communicative. Le deuxième, nommé Fort, était plus grand et arborait une présence physique incroyable. C'était aussi le plus calme pour jouer les scènes de feu ou d'autres cascades. Fripon, comme son nom l'indique, avait la figure un peu fripée mais il était capable de vraies prouesses comme par exemple la scène où il doit rattraper la médaille de Sébastien. Enfin, Garfield réunissait les qualités des trois autres mais était aussi le plus imprévisible. C'est lui qui a incarné Belle dans le premier volet".

# Pour tourner la scène avec l'ours, l'équipe du film a pris un maximum de précautions, en installant notamment des barrières de protection. Les dresseurs quant à eux, ont dirigé l'animal grâce à des chamallows.

publié le 12 décembre, Pauline Julien

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