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Rendez-vous le mois prochain... Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E

Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E

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Chaque semaine, un rendez-vous est fixé avec l'un des films événements du mois prochain. Place donc à Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E, le nouveau film de Guy Ritchie.

Au début des années 60, en pleine guerre froide, Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E. retrace l'histoire de l'agent de la CIA Solo et de l'agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s'engagent dans une mission conjointe : mettre hors d'état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l'heure, Solo et Kuryakin n'ont qu'une piste : le contact de la fille d'un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d'infiltrer l'organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire.

Guy Ritchie est de retour avec une comédie d'espionnage pour le moins alléchante sur le papier. En effet, le réalisateur britannique a dirigé un trio d'acteurs charismatiques, talentueux et que l'on attend au tournant dans ce registre. Henry Cavill, le Superman de la Warner, incarne un agent secret en mission qui croise la route du personnage joué par Armie Hammer, un homologue russe dont les zygomatiques n'ont pas l'air d'avoir beaucoup fonctionné ces dernières années... Les deux hommes s'affrontent puis s'allient dans un jeu bourré d'humour british et d'action filmée avec habileté.

Demandée de toutes parts, Alicia Vikander a ici une nouvelle occasion de démontrer tous ses talents. Issue de la même vague d'actrices suédoises qui a porté Rebecca Ferguson à l'affiche des plus gros blockbusters, elle a toutes les armes en sa possession pour ne pas se laisser dévorer par le charisme de ses deux compagnons de route.

En plus des trois personnages principaux, Agents très spéciaux a également l'avantage d'une excellente photographie, d'un scénario qui n'a rien à envier aux polars des années 1970, et la solide estampille Guy Ritchie gravée au fer rouge. En somme, ce long-métrage présente a priori une carte d'identité unique et suffisamment attirante pour rameuter du monde en salles. Pour découvrir le résultat, rendez-vous dès le 16 septembre prochain dans votre cinéma préféré.

publié le 9 août, Hawoly Ba

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