Actus cinéma

Natalie Portman fan absolue de Dirty Dancing

Natalie Portman lors du photocall de

© Piovanotto Marco, Abaca

Alors qu'on l'attend à l'affiche de "Planétarium" dès le 16 novembre prochain, Natalie Portman s'est confiée dans les colonnes de Trois Couleurs sur ses films fétiches. Parmi ceux-ci, elle cite notamment "Dirty Dancing", dont elle reste une fan inconditionnelle.

Bien avant de remporter l'Oscar de la meilleure actrice pour sa prestation dans "Black Swan", Natalie Portman avait déjà un penchant prononcé pour les films sur la danse. Interrogée sur son premier souvenir de cinéma, la comédienne répond ainsi : "Bonne question... Ce qui est sûr, c'est que le premier film que j'ai regardé en boucle, c'est 'Dirty Dancing'. Aujourd'hui encore, quand il passe à la télé, je ne peux pas m'empêcher d'arrêter tout ce que je fais pour le revoir."

Des goûts très éclectiques

L'actrice assume d'ailleurs sans hésiter son amour absolu pour l'inoubliable romance entre Patrick Swayze et Jennifer Grey puisqu'elle classe carrément "Dirty Dancing" parmi ses films préférés de tous les temps, rien que ça. Face à la difficulté d'une telle question, Natalie Portman choisit tout de même d'établir deux tops 3 différents, le premier étant composé d'oeuvres "sérieuses" et le second de films "marrants". Et de dévoiler lesdites listes : "Alors, les sérieux : 'Breaking the Waves' de Lars von Trier, 'La Pianiste' de Michael Haneke et 'Les Moissons du ciel' de Terrence Malick. Et pour les plus fun : 'Dirty Dancing' d'Emile Ardolino, 'Seize bougies pour Sam' de John Hughes et 'L'Arriviste' d'Alexander Payne."

Une première collaboration marquante

La comédienne revient par ailleurs sur son travail avec Rebecca Zlotowski pour "Planétarium". Elle se réjouit : "C'était la première fois que j'étais dirigée par quelqu'un que je connaissais déjà très bien avant le début du projet."

Mais cette collaboration marquait également son premier tournage sous la direction d'une réalisatrice. Un constat étonnant au vu du CV de Natalie Portman, qu'elle explique pourtant facilement : "Je crois que c'est seulement parce que les femmes ont moins d'opportunités, spécialement aux États-Unis. En France, l'industrie me semble beaucoup plus féminisée, surtout dans la jeune génération. Dans mon pays, ce n'est pas comme si j'avais refusé plein de propositions de réalisatrices. En fait, en vingt-cinq ans de carrière, je n'en ai jamais eu une seule..."

publié le 8 novembre, Pauline Julien

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