Mel Gibson dans la suite de Very Bad Dads ?
© Hahn Lionel, Abaca
Passée inaperçue en France car sortie directement en vidéo, la comédie américaine "Very Bad Dads" avait en revanche connu un beau succès dans son pays d'origine en 2015. À la suite de quoi, Paramount avait commandé un second opus avec toujours Will Ferrell et Mark Wahlberg en têtes d'affiche. Et il se murmure désormais que Mel Gibson pourrait rejoindre le duo au casting !
Mel Gibson dans une comédie potache ? Une possibilité étonnante pour l'acteur dont l'image est plus celle d'un héros de films d'action musclés ou de thrillers tendus. Mais ce qui est plus surprenant encore, c'est qu'un gros studio américain tente de recruter le comédien, qui était considéré ces dernières années comme un paria à Hollywood.
Cependant, le succès de son film "Tu ne tueras point" semble avoir mis fin à l'exil de l'acteur-réalisateur. Rappelons en effet que le long-métrage sur l'objecteur de conscience Desmond Doss a été nommé à six reprises aux Oscars 2017, dont Meilleur film, et que Gibson est lui-même dans la course pour la statuette du Meilleur réalisateur. Un retour en grâce comme on en voit peu.
Bientôt une comédie familiale ?
Selon Deadline, l'interprète original de "Mad Max" serait donc actuellement courtisé par Paramount pour tenir un rôle dans la suite de "Very Bad Dads", qui racontait l'irruption dans la vie d'un beau-père un peu coincé (Will Ferrell) du géniteur bien plus "cool" (Mark Wahlberg) des enfants de sa femme. Les deux hommes se livraient alors une bataille sans merci pour l'affection des bambins. Le long-métrage avait récolté plus de 150 millions de dollars sur le territoire US à sa sortie.
Aucun détail n'a été dévoilé quant au rôle offert à Mel Gibson. Ce dernier n'est d'ailleurs pas le seul comédien à être dans le radar du studio, qui espère également engager John Lithgow dans un autre rôle mystère. L'acteur s'est récemment vu récompenser du SAG Award du Meilleur acteur dans une série dramatique pour "The Crown", dans laquelle il prêtait ses traits à Winston Churchill.
publié le 31 janvier, Marine de Guilhermier
