John Wick 2 "pourrait être meilleur que le premier" d'après Ian McShane
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C'est désormais une question de mois avant que John Wick : Chapter Two ne débarque sur nos écrans. Ceux qui ont vu le film de David Leitch et Chad Stahelski savent que peu ont survécu à la colère vengeresse de Keanu Reeves, mais c'est pourtant l'un d'eux qui nous en dit aujourd'hui un peu plus sur cette suite. Ian McShane, que les fans de Game of Thrones viennent de découvrir dans la saison 6 de leur série fétiche, s'est en effet confié à Entertainment Weekly sur ce deuxième volet. Et les nouvelles sont bonnes.
"Je suis en quelque sorte le seul survivant du premier John Wick. C'est à peu près le même point de départ. Ça ne se déroule pas deux ans plus tard mais très peu de temps après les événements du premier volet. Keanu Reeves est un mec génial. Et on a cet incroyable Italien, Riccardo Scamarcio, qui joue le grand méchant du film, qui est excellent et avec qui je partage pas mal de scènes. Et Chad Stahelski, le réalisateur, est très intelligent. Il a été la doublure de Keanu pendant près de 20 ans et il a étudié le muay-thaï. Il a mis dans ce film toutes les cascades possibles et imaginables. L'action ressemble à un film de Hong Kong et non à du cinéma hollywoodien, ce qui d'après moi, est toujours une excellente chose".
Sorti en 2014, John Wick avait su créer la surprise et trouver son public, en proposant un film d'action brutal et sombre à souhait. Une atmosphère que devrait a priori retrouver son successeur, toujours porté par un Keanu Reeves en pleine réhabilitation sur la scène internationale après un long passage à vide. Si l'acteur de Matrix reprendra donc une nouvelle fois son rôle d'assassin sans pitié, Ian McShane retrouvera quant à lui son personnage de Winston, le propriétaire de l'Hôtel Continental. Expert dans l'art du teasing, l'acteur précise encore : "C'est une continuité. J'ai adoré le premier film. Et celui-ci pourrait même être encore meilleur". Voilà qui devrait donc mettre un peu plus l'eau à la bouche des cinéphiles en manque d'action.
publié le 8 juin, Pauline Julien
